« Fin », Semuchka, 27 décembre 2021 :
« Semuchka, en tant que site, existe depuis la guerre des 44 jours.
L’idée de départ, issue d’une discussion entre amis, était de taper sur
l’Azerbaïdjan en montrant toute son absurdité par un des meilleurs véhicules
qui soient : l’humour. […]
Par la suite, nous avons voulu briser des tabous de la communauté
arménienne, qui l’avaient bien trop fragilisée. Nous n’étions pas les seuls :
toute une génération se demandait comment on avait pu se retrouver à la merci de
barbares [sic], sans que personne ne voie venir
le truc, et surtout, pourquoi on n’en parlait pas. […]
La plupart de nos membres
ont dès le départ souhaité garder l’anonymat. Certains parce qu’ils avaient
peur que leur grand-mère tombe dessus, d’autres par mesure de sécurité. En
effet, quand on dénonce, il y a des représailles (surtout quand on a affaire
à certains tarés 😮 ). »
La publication de documents sur les « représailles » exercées par
ces « tarés », avec leurs noms, eût été fort intéressante.
Lire aussi :
La
haine mutuelle entre nationalistes arméniens s’exacerbe en France
Le
conflit entre Nikol Pachinyan et les éléments les plus fanatiques de la
diaspora commence déjà
Les
profondes divisions entre nationalistes arméniens en France, en 2020
Le
politiste Bruno Tertrais injurié, diffamé et menacé de mort par des fanatiques
arméniens
Un
lieu de radicalisation terroriste à ciel ouvert : le forum d’armenews.com
Le
site Internet de la Jeunesse arménienne de France (Hintchak) disparaît
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