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Certes, le gouvernement du Premier ministre Nikol Pachinyan (au pouvoir depuis mai 2018) ne défend plus officiellement la mémoire du criminel nazi Garéguine Nejdeh (ce qui était encore le cas en octobre 2019), mais il n’a retiré aucune de ses statues, il n’a ni interdit ni réprimé cette manifestation, et l’admiration pour Nejdeh demeure inconditionnelle dans presque toute l’opposition organisée (Parti républicain, Fédération révolutionnaire arménienne, etc.).
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