Exemple de dévastation commise par les nationalistes arméniens dans les territoires occupés jusqu’en 2020.
« Haut-Karabakh :
pourquoi ce silence de la gauche occidentale ? », Nouvelobs.com, 11 novembre 2020 :
« Le 27 septembre 2020, l’Azerbaïdjan a de nouveau attaqué le peuple
de l’Artsakh (Nagorno-Kharabagh). Depuis lors, il n’a cessé de violer les
cessez-le-feu et la guerre qui vient de se dérouler est la plus sanglante que
la région ait connue depuis la guerre lancée par l’Azerbaïdjan indépendant en
1991 contre l’Artsakh. C’était alors sa réponse aux manifestations pacifiques
des Arménien.ne.s d’Artsakh qui souhaitaient ainsi mettre fin à l’annexion
arbitraire de leur pays décidée par Staline en 1921 [mensonge
grossier]. […]
La Turquie, pour sa part, a soutenu son satellite [sic] dans le Caucase, espérant sans doute achever le projet de purification
ethnique que l’Empire ottoman avait largement
entamé avec un
génocide en 1915. Pour cela, elle n’a pas hésité à envoyer des mercenaires
terroristes venant de Syrie dans les champs de bataille [autre mensonge grossier : le ministère arménien de la Défense en
a été réduit, pour justifier son incapacité à montrer un seul corps, à
prétendre que les cadavres avaient été… mangés par des sangliers]. […]
Dans ce contexte, le soutien de la
diaspora était évident et nécessaire : de nombreuses manifestations
ont été organisées dans les quatre
coins du monde, pour exiger la reconnaissance de l’Artsakh. A ces
occasions, des hommes politiques dans nombre de pays européens, en Amérique
latine, au Canada, aux Etats-Unis, etc. ont clairement exprimé leur engagement
en faveur de la liberté et de la paix pour l’Artsakh. […]
Pour une paix juste et durable en Artsakh :
Reconnaissance de l’indépendance de la République de l’Artsakh et mise sous
protection de sa population !
Refus des récupérations réactionnaires, chauvines ou racistes !
Stop aux ventes d’armes à l’Azerbaïdjan et à la Turquie [manière sournoise de s’en prendre à Israël]
!
Sanctions politiques et économiques pour les crimes commis par la Turquie
et l’Azerbaïdjan !
Appel initié par la Coordination pour un soutien internationaliste à
l’Artsakh et soutenu par : Viviane Albenga, sociologue (Université de Bordeaux
Montaigne) ; Ariane Ascaride comédienne ; Hamit
Bozarslan, historien et politologue (Ecole des Hautes Etudes en Sciences
sociales) ; Sergio Coronado, militant écologiste ; Pierre Dharréville, député
des Bouches-du-Rhône (PCF) ; Rokhaya
Diallo, journaliste et réalisatrice […] Pierre
Tevanian, philosophe ; Sylvie Tissot, sociologue (Université de Paris VIII)
; Valentine Guédiguian, artiste ; Yann R., syndicaliste Sud-Education.
Organisations signataires : Parti communiste français, Collectif LMSI (Les
mots sont importants), Mouvement Charjoum, Conseil démocratique des Kurdes de
Toulouse, Eunomia (association d’expérimentation sociale et politique). »
https://twitter.com/moutet/status/1330568579272626177
« Une gourde du @washingtonpost
[Karen Attiah] raconte qu'on fiche
les enfants musulmans avec un "numéro spécial" (le numéro national
d'étudiant de tous les élèves niveau bac & après depuis 1995): l'Ambassade
de France au Pakistan essaie maintenant de prévenir des attentats contre des
Français. »
https://twitter.com/tudoralexis1/status/1330667263851106304
« S’il vous plaît [Karen Attiah],
suivez le conseil d’une “personne française non-blanche” et soignez votre
francophobie. »
Tweet
de soutien de Mme Diallo à la menteuse Karen Attiah, qui a mis en
danger les Français du Pakistan :
« En réalité ce qui INSUPPORTE nos élites qui critiquent ardemment les
«médias américains», c’est le fait d’assister avec impuissance à l’expression
de non-Blanc.he.s décrivant la France selon leurs propres termes dans des
sphères auxquelles ils/elles n’ont pas accès. Cheh! »
Rokhaya Diallo, «
Josephine Baker enters the Panthéon. Don’t let it distract from this larger
story », The Washington Post, 21
novembre 2021 :
« L’histoire de Baker [décorée de la
Médaille de la Résistance avec rosette, de la Croix de guerre 1939-1945 et de
la Légion d’honneur à titre militaire, pour son attitude héroïque pendant la
Seconde Guerre mondiale] est souvent utilisée en France pour faire avancer
le mythe d’une république prétendument plus accueillante pour les Noirs que ne
le sont les États-Unis. En effet, tout au long du XXe siècle, la
France a construit ce récit en accueillant de nombreux artistes
afro-américains, dont Sidney Bechet, Richard Wright, James Baldwin, Nina Simone
et d'autres qui ne supportaient plus l’oppression aux États-Unis. »
Évidemment, dans ce délire francophobe, Mme Diallo ne cite pas
une seule fois Blaise Diagne, député-maire de Dakar de 1914 à sa mort, vingt
ans plus tard, sous-secrétaire d’État aux Colonies de 1931 à 1932 ; ni
Félix Éboué, Noir guyanais, premier gouverneur colonial rallié à la France libre ;
ni Gaston Monnerville, autre Noir guyanais, président du Sénat de 1947 à 1968.
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